

Lignes parallèles
Joseph Haydn
Symphonie in fa mineur "La Passione" Hob 1:49
Dinu Lipatti
Concertino pour piano en style classique op.3
Wolfgang Amadeus Mozart
Concerto pour piano n°27 en si b majeur K.595
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Les Métamorphoses
Inspirés par les travaux de Nikolaus Harnoncourt et Sir Roger Norrington, les instrumentistes de l’orchestre Les Métamorphoses se donnent pour mission de créer une sonorité la plus adaptée à chaque époque en utilisant des instruments modernes tout en favorisant l’intégration d’instruments anciens quand le mélange s’avère convainquant (cors et trompettes naturels, timbales anciennes, contrebasses avec cordes en boyaux…).
Fondé par Camille et Raphaël Feye, l’ensemble est composé de musiciens choisis pour leur engagement et leur curiosité pour la pratique et l’interprétation historiquement informées.
Raphaël Feye chef d'orchestre


Violoncelliste et chef d’orchestre, lauréat des Conservatoires Royaux de Musique de Bruxelles (Master en Musique avec grande distinction dans les classes de Marie Hallynck et Jeroen Reuling), de la Hochschule für Musik «Felix Mendelssohn-Bartholdy» de Leipzig et de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, Raphaël Feye s’est perfectionné auprès des membres des Quatuors Alban Berg, Artemis et Danel, d’Eberhart Feltz et du violoncelliste Lluis Claret. Il est également diplômé en Histoire de la Musique. Il a étudié la direction d’orchestre auprès de Jean-Sébastien Béreau, Jorma Panula et Niels Muus. Il assiste régulièrement aux répétitions de Sir Roger Norrington dont le travail l’inspire particulièrement.
Il a eu l’occasion de diriger notamment les London Mozart Players et le Janacek Philharmonic d' Ostrava. Depuis 2016, il se produit régulièrement comme chef d’orchestre à l’Opéra d’Etat de Rousse dans « la Flûte enchantée » et « l’Enlèvement au Sérail » de Mozart, Don Pasquale de Donizetti et prochainement dans « Don Giovanni ».
Avec l’orchestre ‘Les Métamorphoses’ qu’il a créé avec Camille Feye, il vient d’enregistrer un cd consacré à Haydn, Lipatti et Mozart le label EPR avec le pianiste Julien Libeer. Parmi les projets en cours, il se consacre également à la re-création du Requiem de François-Auguste Gevaert avec l’Ensemble Vocal de Bruxelles et l’Ensemble ‘Les Basses de Bruxelles’.
Son intérêt pour la musique orientale (turque, arménienne et iranienne) l’a amené à participer à l’enregistrement ‘Karin’ pour le label Muziekpublique avec Emre Gültekin (saz et chant) et Vardan Hovanissian (duduk).
Raphaël a étudié cinq ans à l’école d’humanités classiques Schola Nova. Il y enseigne à présent la musique et y organise depuis 2003 une série de concerts. Violoncelliste du quatuor Coryfeye de 2002 à 2014, il s’est produit comme chambriste lors de nombreux festivals européens.
Il partage la scène avec des musiciens comme Bogdan Bozovic, Elina Buksha, Malin Broman, Jean-Michel Charlier, Guy Danel, Paul Dombrecht, Lorenzo Gatto, Marie et Sophie Hallynck, Pavel Kolesnikov, Yura Lee, Julien Libeer, Aleksandar Madzar, Pascal Moraguès, Philippe Raskin, Laura Samuel, George Tudoraché et a collaboré avec les compositeurs Philippe Boesmans, Peter Eötvös, Christopher Muscat, Frederik Neyrinck et Frederik van Rossum. Il a participé récemment à plusieurs retransmissions de concerts pour les radios Musiq 3 et Klara.
Julien Libeer pianiste


Né en 1987 vers Bruxelles, le plus ancien souvenir musical de Julien Libeer remonte au fameux documentaire sur l’enregistrement de 'West Side Story' par Leonard Bernstein. Le piano, qu’il commença à l’age de six ans, devint rapidement un loyal compagnon dans l’expression d’un amour de la musique qui jusqu’aujourd’hui se nourrit autant d’opéra, du répertoire de chambre et symphonique que des grandes partitions pour piano.
Pendant cinq années décisives, le pédagogue franco-polonais Jean Fassina fut le professeur patient, exigeant et sage que tout aspirant-musicien devrait avoir la chance de rencontrer. Cette expérience fut suivi par une collaboration toute aussi intense avec Maria João Pires, dont les conseils et le soutien continuent d’influencer profondément sa vision des choses.
Julien Libeer a été l’invité de salles telles le Palais des Beaux-Arts et Flagey à Bruxelles, le Théâtre de la Ville à Paris, la Barbican Hall de Londres, l’Auditorio Nacional de Madrid, le Palau de la Musica à Barcelone, ou encore le Concertgebouw d’Amsterdam. D’autres tournées l’emmènent entre autres au Japon (Tokyo, Sumida Tryphony Hall), au Liban (Beirut Chants festival) ou encore aux Etats-Unis (Miami International Piano Festival).
Il joue en concerto avec entre autres le Brussels Philharmonic, l’Orchestre National de Belgique, deFilharmonie, Sinfonia Varsovia, le New Japan Philharmonic, sous la baguette de chefs tels Michel Tabachnik, Augustin Dumay, Serge Pehlevanian, Joshua Weilerstein, Enrique Mazzola, Christopher Warren-Green...
Chambriste très apprécié, il collabore régulièrement avec Augustin Dumay, Camille Thomas, Frank Braley, Maria João Pires, ainsi que Lorenzo Gatto avec qui il donne l’intégrale des sonates de Beethoven dans la saison 2015-2016.
Julien Libeer a étudié avec Daniel Blumenthal (Conservatoire de Bruxelles) et est artiste associé à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, où il s’est également formé en musique de chambre sous l’égide des membres du Quatuor Artemis. Il a reçu les conseils d’Alfred Brendel, Dmitry Bashkirov et Abdel Rahman El Bacha.
S'il s'est consciemment tenu loin du circuit des concours internationaux, il n'en a pas moins reçu, en 2008, le Prix Juventus (jeune soliste européen le plus prometteur), et fut élu Jeune Musicien de l’année par l’association de la presse musicale belge en 2010. En 2013, il reçoit le prix du public décerné chaque année par la radio Klara.
Très apprécié pour son éloquence, Julien Libeer est un invité régulier des médias belges et étrangers. Son travail a fait l’objet d’un documentaire (« Technique doesn’t exist », 2013), qui se trouve aussi sur YouTube. Habitant à Bruxelles, il passe la plupart de son temps libre à lire, nager ou regarder une bonne série, et est activement engagé dans un nombre de projet sociaux, tous fondé sur l’idée que la musique peut être une force transformatrice pour chaque personne prête à écouter.
musiciens


1er Violon
Concertmeister
Bogdan Božović
Blandine Matrot
Diede Verpoest
Maxime Michaluk
Pieter Decolvenaer
Natalia Kotarba
2e Violon
Pieter Jansen
Cedric Allard
Kaja Nowak
Morgane Derbal
Joris Decolvenaer
Paul Serri
Alto
Adam Newman
Camille Feye
Maurizio Bosone
Gergely Kóta
Fayçal Cheboub
Violoncelle
Francis Mourey
Nicolas Deletaille
Contrebasse
Pasquale Massaro
Korneel Le Compte
Elias Bartholomeus
Flûte
Géraldine Clément
Hautbois
Emily Ross
Magdalena Carbow
Basson
Lisa Goldberg
Enrique Alonso Cordovilla
Cor
Bart Cypers
Jean-Pierre Dassonville
Mark De Merlier
Timbales
Arthur Ros
Camille Feye directrice artistique


Camille Feye est altiste.
Bien qu'ancienne violoniste et de surcroît française, elle n'aime plus les biographies grandiloquentes.